Je suis tombée il y a quelques mois sur la vidéo de gauche où Christophe Brusset, un ancien cadre de l'industrie agroalimentaire, explique (sur Europe 1), ce qu'il a vu dans son travail... A l'inverse, voici à droite un autre témoignage, de l'actrice Armelle Lesniak (vous vous souvenez, dans Caméra café, entre autres!?). Elle livre ici son expérience sur l'alimentation crue (avec une bonne tranche de rigolade sur la fin...). Pour ceux qui veulent en savoir plus au sujet du crudivorisme, je vous renvoie à l'excellente (et troublante, surtout au premier visionnage!) vidéo d'Irène Grosjean.
Vous aurez compris, en écoutant ces témoignages, qu'il faut privilégier:
- un système court et local le plus possible: plus c'est complexe, plus il y a d'intermédiaires, plus la responsabilité et la qualité sont diluées.
- des produits bios: on vote ainsi pour des terres sans pesticide ni engrais de synthèse, et on évite de polluer l'eau qu'on boit et l'air qu'on respire...
- les denrées brutes, le moins transformées possible: quand on transforme, on modifie la structure de l'aliment. Du coup, pour le rendre présentable, appétissant et aussi pour qu'il se conserve, on y ajoute additifs, conservateurs, arômes, exhausteurs de goût etc... Bien sûr, cela signifie qu'il faudra cuisiner un peu plus sauf si on s'oriente vers...
- des aliments d'origine végétale consommés crus: un petit plat unique cru, composé et riche en couleur, sera vite préparé, sain et bien digéré!
France Guillain explique notamment dans son livre La méthode que la réaction leucocytaire mesurée après le repas est bien moins importante quand on commence son repas par un végétal cru...
- et bien sûr on achètera en vrac! Le vrac est en effet de bien meilleure qualité (la preuve: les graines en vrac germent, alors que celles en sachet ne germent pas...) On évitera ainsi de générer des déchets qui finiront en incinérateur ou enfouis dans nos sols...
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